
« Ma Formation au PfPI m’a permis de maitriser le test, de l’expliquer, de le lire et d’en rendre compte. Je peux désormais assurer un processus de recrutement de façon autonome, ce qui était mon objectif. »
Amel BENGUEDIH, Assistante de recrutement, ARI – Direction des Ressources Humaines.
Amel BENGUEDIH est assistante en recrutement à l’ARI (Association Régionale pour l’Intégration), une association qui favorise le soutien et l’inclusion des personnes en situationde handicap ou en difficultés. Elle s’est formée à l’inventaire de personnalité PfPI pour y avoir recours lors de recrutement de candidats non-cadres.

L’ARI (Association Régionale pour l’Intégration) est une association qui favorise le soutien et l’inclusion des personnes en situation de handicap ou en difficultés. Nous possédons plus de 50 établissements médicosociaux en Provence. Nos 1500 professionnels représentent divers corps de métiers : éducatif, paramédical, médical, administratif, etc.
Je participe au processus de recrutement de l’association et nous faisons passer le PfPI aux candidats non-cadres (SOSIE pour les cadres) en avant-dernière étape du processus. Il était donc nécessaire que je me forme moi-même à cet inventaire de personnalité au travail pour en être certifiée et pouvoir l’utiliser dans le cadre de mes fonctions.
Cette formation m’a apporté toute la technicité et la logique dont j’avais besoin. Elle m’a été très bénéfique en termes de compréhension de l’intérêt du test. Elle m’a aidé également à mieux appréhender chacune des dimensions exposées, et surtout de les lier les unes aux autres pour assurer un compte-rendu complet.
La formation assurée par Brigitte Chuquet m’a permis de maitriser le test, de l’expliquer, de le lire et d’en rendre compte. Je peux désormais assurer un processus de recrutement de façon autonome, ce qui était mon objectif.
J’utilise le PfPI pour chaque recrutement de candidats non-cadres, Il m’apporte un éclairage sur le profil du candidat et permet aussi de rendre le processus de recrutement plus « ouvert » dans le sens où je laisse désormais place au dialogue, à l’écoute du candidat. Cela évite un processus « robotisé ».
Les évalués trouvent le test très intéressant et se sentent plus écoutés et accompagnés, moins jugés également grâce à la préparation/explication du test qui rend la communication plus claire.